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Roukia Mohamed

ATELIER MÉTALLERIE

Comment avez-vous connu ATAO ?

Par la Mission Locale. Après mon CAP Métier du Pressing, j’ai fait un bilan de mes envies profondes. Alors que je pensais me diriger vers la Petite Enfance, ce bilan a révélé que j’étais plutôt une personne manuelle. Je suis allées aux portes ouvertes à l’Icam et j’ai découvert la Chaudronnerie, ça m’a fait tilt. J’ai pu ensuite suivre une semaine d’initiation à la soudure dans leur Ecole de Production et j’ai confirmé mon choix.

Pourquoi êtes-vous venu à ATAO ? Quelles étaient vos attentes ?

Trouver du travail en soudure sans qualification et sans expérience, c’est compliqué. Grâce à la Mission Locale, j’ai pu intégrer le chantier métallerie d’ATAO en 2018. C’était impressionnant au début, en plus j’étais la seule femme de l’atelier. Mais j’ai été bien accueillie, mes collègues m’ont aidé, montré le matériel. J’avais beaucoup à apprendre. Je savais souder avec une baguette et chez ATAO on soude avec une torche. L’encadrant technique et pédagogique m’a aidé à prendre la bonne posture, a corrigé mes gestes, et j’ai progressé.

J’ai commencé par souder de petites pièces, et au fur et à mesure j’ai pu assembler des ouvrages plus importants : portails, boîtes à livre par exemple.

En quoi l’accompagnement individualisé vous a aidé ?

Avec l’accompagnatrice socio-professionnelle, j’ai pu prendre le temps de faire mon CV et ma lettre de motivation en utilisant ce que j’avais appris. Elle m’a accompagnée dans mes recherches de stage en entreprise et pour monter un dossier afin de passer la première licence soudure.

Et maintenant, quels sont vos projets ?

J’aime beaucoup travailler sur des grandes pièces car je suis patiente et minutieuse.
J’aime les gestes de soudure et surtout voir le résultat de mon travail. Je viens d’obtenir ma licence soudure MAG135 et je suis vraiment contente. Je suis prête à quitter ATAO pour aller travailler en entreprise.

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